Reuters a rapporté que les législateurs se sont réunis après la visite du secrétaire d’État Anthony Blinken à Pékin lundi pour faire pression sur les grands constructeurs automobiles américains afin qu’ils réduisent leur dépendance aux pièces automobiles chinoises.
La Chambre prévoit d’envoyer quatre membres pour faire appel aux PDG de Ford, de General Motors et de plusieurs fournisseurs automobiles basés aux États-Unis. Le républicain du Wisconsin Mike Gallagher, le représentant du Michigan John Mullenar, le représentant démocrate de l’Illinois Raja Krishnamurti et la représentante du Michigan Hayley Stevens assisteront à la réunion à Detroit, ont indiqué des sources à Reuters.
Après le sommet entre Blinken et le président chinois Xi Jinping, la rencontre avec les constructeurs automobiles est une priorité absolue pour les législateurs. Bien que la réunion ait principalement porté sur les liens militaires entre les États-Unis et la Chine, les parties se sont assurées qu’elles s’efforceraient également de désamorcer les tensions qui se sont intensifiées depuis que l’ancien président Donald Trump a lancé une guerre commerciale avec la Chine en 2017. (En rapport: (Exclusif : China Intel Arm exploite discrètement des « centres de service » dans 7 villes américaines)
Blinken a clairement indiqué que les priorités du président Joe Biden sont conciliantes. Proverbe Les États-Unis « ne cherchent pas une nouvelle guerre froide » et continuent d’adhérer à la politique d’une seule Chine.
Secrétaire d’État Blincoln « Nous ne soutenons pas l’indépendance de Taiwan »
L’administration Biden donne le feu vert à la Chine pour intensifier la menace contre notre allié, Taïwan.
C’est une dangereuse démonstration de faiblesse contre nos ennemis sur la scène mondiale.
pic.twitter.com/RaMisS9ukT– Le membre du Congrès Ben Cline (@RepBenCline) 19 juin 2023
Les États-Unis reçoivent environ 10 % de leurs importations de pièces automobiles de Chine, et ce pourcentage a diminué au cours des dernières années.